Passage (nom provisoire)

J'ouvre les festivité avec le récit sur lequel je travail pour le moment, "Passage".

Etant fan du Japon, un grand nombre des noms contenu dans le récit son a consonence japonaise.

Je vous laisse a la lecture et j'attends votre avis.

Ryokô Ichi : Rêve

Vlad alla se coucher, il était fatigué mais content. Aujourd’hui c’était son anniversaire (16 ans) et il avait été fêté comme il se doit mais maintenant il avait besoin de dormir, il avait cours demain. Le garçon était grand, sans conteste, et son mètre quatre-vingt six portait un jeune homme peu musclé. Il n’avait pour lui qu’un visage long et toujours souriant, ainsi qu’un teint plein de vie parachevé par des yeux bleus à la limite entre le turquoise et le bleu océan. Ses cheveux blond vénitien étaient courts mais assez long tout de même pour qu’il puisse les engluer de gel chaque matin. Il ne fut pas long à s’endormir, a peine trois minutes, juste le temps de penser qu’une fois encore il n’avait pas révisé pour le lendemain. L’école le passionnait si peu et il commençait à en avoir marre. De toute façon il dormait.

??? : Hé bonhomme ! Ohé mon gars !
Vlad : Hum ! Quoi ? Quelle heure est-il ? Je veux encore dormir.
??? : Qu’est ce que tu raconte mon gaillard ? Faut se réveiller maintenant.
Vlad : Mouais……Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Qui etes vous ? Que faites vous chez moi ? Comment etes vous entré ?
??? : Mais tu délire, je viens de te trouver, endormi dans l’herbe !
Vlad regarda alors autour de lui. Ce n’était pas sa petite chambre qu’il voyait mais une énorme prairie en pente douce. Cette vaste étendue verte se prolongeait au-delà des nombreuses collines qui composaient une énorme vallée. A l’horizon se découpait une chaîne de montagne assez âgée à en juger par ses pics soumis à une forte érosion. Vlad était assis au bord du seul chemin qu’il pouvait apercevoir, les herbes hautes masquaient la vue au raz du sol. Certes elles étaient hautes mais aussi tellement douces.
L’homme qui se trouvait devant lui était petit et trapu. Agé aussi, comme l’indiquait sa barbe épaisse et grisâtre. Son embonpoint collait parfaitement à l’image type du nain des montagnes. Sauf que même s’il était petit, il conservait un taille supérieure aux nains. Il s’était adressé à Vlad avec une voix fort mais pleine de chaleur.
Vlad : Ou suis-je ?
??? : Pour répondre à ta première question, tu peux m’appeler Balban. Et nous sommes près de la ville de Lutélia. Comment est tu arrivé ici ?
Vlad : Si je le savais, je vous le dirais bien mais ce n’est pas le cas.
Balban : Bon, je t’emmène voir un médecin en ville, il y en a un très réputé et en plus c’est un Erudit.
Vlad : Je vous remercie. Mais qu’est ce qu’un Erudit ?
Balban : Je commence à croire que tu n’es même pas du continent. Tu sembles avoir perdu la mémoire. Ecoute bien, je vais te raconter ce que je sais, l’Erudit t’en dira plus. Au fait, quel est ton nom ?
Vlad : Je m’appelle Vlad Magnitude.
Vlad monta alors dans la petite charrette de sapin du vieux Balban. En chemin, il laissa sa langue se délier et poser la multitude de question qui lui passait par la tête à mesure que la charrette avalait les kilomètres du chemin terreux. Balban lui répondait avec gentillesse. Vlad se trouvait dans le royaume de Hachi Sosai. Ce monde était divisé en sept royaumes avec un Sosai (gouverneur) à la tête de chacun. Lutélia était une grande ville mais ce n’était pas la capitale du continent, juste celle du commerce de la région Shinjin. Le commandement politique et militaire était laissé aux sept Sosai, celui économique à leurs intendants respectifs. Les Erudits quant à eux étaient les gardiens des connaissances scientifique, mythologiques et religieuses, ils n’existaient que dans les régions de Shinjin, Kitai et Sekinin. Dans celles de Yokubô, Muhô et Tsuyosa, cette fonction était laissée aux Archi-Prêtres. Saiwai ne possédait pas de groupe spécial, il bénéficiait de l’influence de chacune des régions, n’étant officiellement en froid avec aucune d’entre elle mais réellement avec toutes.
Balban : Je te conduis chez un des Erudit, il est aussi médecin à son compte et il est le meilleur de toute la région. Il devrait y avoir du monde mais ne t’inquiète pas, tout ira bien.
Très bien même. C’est ce que Vlad ressentait, loin de l’école, des tracas et de l’ennui. Et puis arriva une colline plus grande que les autres et qui portait le chemin de terre qui s’élargissait. La charrette la grimpa, s’arrêta.
Balban : Voici Lutélia mon jeune ami. C’est une modeste mais accueillante ville d’un million de personnes.
Vlad dégluti, la ville était « modeste » avec son « million » d’habitants répartis une multitude de quartiers facilement discernables grâce a la structure de la cité parfaitement découpée. La ville s’étendait du pied de la colline au milieu d’une plaine géante délimitée au loin par l’impressionnante chaîne de montagne. De cette belle cité partaient trois grandes routes pavées, une route de terre moins large et une farandole de chemins terreux comme celui sur lequel se trouvait la charrette du vieux Balban.
Après encore dix minutes de trajet, la charrette passa le porche qui indiquait l’entrée de la ville et qui permettait d’en traverser la muraille. Cette muraille épaisse d’au moins trois mètres semblait pouvoir résister à n’importe quel assaut. Ce sentiment de sécurité expliquait sûrement l’apparente quiétude des gardes de la ville. Ceux-ci revêtaient une tunique d’un bleu sombre et élégant surmonté d’une cote de cuir légère et ornée d’une croix latine dont la branche du était une boucle légèrement ovale et un pantalon assorti à la tunique. La ville était en ébullition mais plus que le nombre de gens, c’était leur façon de s’habiller, de se comporter, de rire qui frappait Vlad. Ces gens n’avaient-ils pas de tracas ?
Vlad : Dites moi Balban, pourquoi les gens rient ils ainsi ?
Balban : Hein ? Et bien il en a toujours été ainsi, la ville est prospère, protégée par ses murailles et gouvernée par un bon Sosai, que demander de plus ? Les gens ne rient pas chez toi ?
Vlad : Et bien chez moi, les gens ne se déplacent pas en charrettes et ne portent pas ce genre de vêtement, on se croirai au Moyen Age !
Balban : Le Moyen Age, qu’est-ce ?
Vlad : Et bien c’est une époque où les gens……………..
Vlad senti soudain ses forces le quitter. Sa vue se brouillait. Il ferma les yeux mais ne pu les rouvrir, ses paupières étaient lourdes. Un bruit strident résonnait dans sa tête. C’est alors qu’il s’écroula lourdement dans la charrette.
Après un certain temps, il parvint à ouvrir les yeux. Il se trouvait dans son lit, assis, en nage. Il chercha, chercha mais ne trouva rien. Où était Balban ? Lutélia ? Et puis son regard croisa son réveil.
Il avait rêvé. C’était fini. Il était heureux dans son rêve et il ne pouvait s’expliquer pourquoi mais l’atmosphère et la chaleur qui se dégageait de ce rêve lui étaient très agréables, presque familières. Maintenant il devait se lever, aller à l’école, faire de son mieux.

Prof de physique : 2,5/20. Tu t’es encore surpassé, tu comptes travailler un jour ?
Vlad se trouvait humilié une fois de plus devant toute la classe. C’était son lot quotidien et ce avec chacun de ses professeurs. Mais ce rêve… La nuit dernière il était aux anges : nouveau dans un nouvel univers, il aurait pu recommencer une vie. Au lieu de ça, il devait subir les « joies » de l’école chaque jour. Quand cela cessera-t-il?
Prof de physique : Vlad, tu prends tes affaires et tu vas voir le CPE, je ne veux plus de toi en cours cette semaine.

De retour chez lui, Vlad n’en pouvait plus. Le CPE lui avait fait nettoyer toutes les archives du lycée.
Mère de Vlad : VLAD !!! Qu’est ce que ça signifie ? J’ai reçu un coup de fil de ton CPE, tu peux m’explique pourquoi ton professeur de physique ne t’accepte plus en cours ?
Vlad : Hé bien c’est simple. Non content de m’humilier à cause de mes notes, le prof a tout bonnement décidé de m’exclure. Peut être pour une prime, peut être pour remplir un cotât, je ne sais pas. Je n’ai pas faim, je vais me coucher. C’est un très beau lendemain d’anniversaire.

??? : Il se réveille. Balban, il a ouvert les yeux.
Balban : Et bien bonhomme, que t’est il arrivé ?
Vlad : Je… Je… Je ne sais pas. Je suis revenu ?
Balban : Revenu ? D’où croit tu venir ? Tu n’as pas bougé. Nous sommes chez mon ami Erudit et voici sa fille qui t’a soigné, Ishidan Yûsuzumi.
La jeune fille devait avoir dans les 19-20 ans. Elle avait une chevelure noire comme la nuit. Ses pupilles avaient une teinte orangée comme un soleil couchant. Son visage était fin et ses yeux légèrement bridés. Elle ressemblait à une Japonaise. Elle n’était pas grande mais fine, ne présentait pas de formes opulentes, mais suffisamment avantageuses. Ses vêtements se résumaient à une robe blanche et un tablier bleu ciel qui mettait encore plus en valeur ses yeux charmeurs.
Vlad : En…Enchanté… Vous êtes… très jolie.
Yusuzumi : Merci…. Je retourne travailler Balban. Vous lui expliquez pour la suite ?
Blaban : Oui bien sûr.
Yusuzumi sorti de la pièce. Vlad ne la lâchait pas des yeux, elle était si jolie, si gracieuse, si…
Balban : Donc… Vlad, tu m’écoutes ?
Vlad : Heu oui, pardon.
Blaban : Je disais donc que je vais devoir repartir. Tu seras logé chez les Ishidan et tu attendras le retour de son père avant de partir afin de lui expliquer d’où tu viens. Je crois aussi qu’il pourra t’apporter certaines réponses. En attendant, voici 500 pièces. Achète toi des vêtements et de quoi manger pour ce midi. A la quatrième heure de l’après midi, retrouve Yusuzumi au cabinet de soins où nous sommes, elle te conduira chez elle. Je dois partir maintenant.
Vlad : Je comprends. Je vous remercie pour tout ce que vous avez fait. A bientôt.
Blaban : A bientôt.

« Toc ! Toc ! »
Yusuzumi : Je peux entrer ?
Vlad : Ho. Heu… Oui.
Yusuzumi : Vous sentez vous mieux ?
Vlad : Oui, je vous remercie. Blaban m’a fourni de l’argent, je vais aller découvrir la ville et je vous retrouverais ici à la quatrième heure de l’après midi. Tiens, ma montre. J’ai ma montre vous voyez ! Ha ha !
Yusuzumi : Vous etes sûr que votre température a baissé ?
Vlad : Heu…Veuillez m’excuser. J’y vais.
Yusuzumi : Repérez bien le chemin. A ce soir.
Vlad remit sa chemise et sorti de la pièce. Il arriva dans un grand hall où cinq personnes étaient assises et attendaient leur tour de soins. Puis il passa une grande porte de sapin.
Soudain…La foule. Du monde à perte de vue.
Vlad :*La rue est bondée, je suis vraiment tombé dans une ville de gros calibre. C’est pas tout, il me faut des vêtements, je suis trop voyant et un bon repas serait le bienvenu. Il me reste deux heures, encore une chance que se soit le même système de mesure du temps que ma montre. Enfin, c’est normal puisque c’est un rêve.*
Vlad se dirigea alors vers des cris, la vente à la criée existait même ici.
Vendeur : Toges, tunique, robes ! Tissus de tous genre ! Toges, tunique, robes !
Vlad : Excuser moi. Combien pour cette tunique verte ? Et ce pantalon blanc ?
Vendeur : Haha, vous avez l’oeil. 120 la tunique, 100 le pantalon et pour 80 pièces de plus je vous offre ceinture, gants et bottes de cuir.
Vlad : Hum. C’est d’accord. Voici votre argent. Savez vous ou je peux avoir un bon repas ?
Vendeur : Mon cousin tiens une auberge, la prochaine rue à droite. Allez y et dite lui que vous venez de la part d’Alberto, vous aurez le droit à une remise et il vous prêtera sûrement une chambre pour que vous vous changiez. En plus sa nourriture est garantie sans matière grasse et ne coûte pas cher.
Vlad : Je vous remercie.
Vlad se rendit alors au lieu dit avec ses nouveaux vêtements et sa bourse un peu plus légère.
« Gling giling »
La clochette retentit, annonçant l’entrée de Vlad dans le restaurant nommé la Marmite Garnie. Une fois au comptoir, l’aubergiste s’approcha de lui.
Aubergiste : Que puis-je pour vous, voyageur ?
Vlad : Heu, je viens de la part d’Alberto.
Aubergiste : Ho Ho, vous lui avez acheté sa marchandise, ça fait marcher le commerce familial. Que désirez vous ?
Vlad : Je voudrais prendre un bon repas et vous emprunter une chambre pour me changer.
Aubergiste : D’accord, tenez, voici le menu. Ensuite vous irez vous changer pendant qu’on prépare votre repas. Installez vous où vous voulez. Voici la clef de la chambre 24.
Vlad parcourut le menu et opta pour un pavé de bœuf aux herbes de Sandrix, le tout surmonté d’un coulis de fruits rouges de Percamp. Puis il alla se changer dans la chambre 24, son numéro fétiche, preuve qu’il rêvait. Quand il revint, il s’installa près de la fenêtre qui donnait sur la rue. Une jolie serveuse lui apporta son plat. Il prit une bouchée et il finit par conclure que l’addition jolie serveuse plus repas savoureux ne se trouvaient que dans un rêve. Il prit tout son temps pour manger puis, une heure après son départ du cabinet Ishidan, il se remit en route vers un second marché. D’après les indications de l’aubergiste, il trouverait aisément ce qu’il cherchait.
Vlad : *Il ne me reste que 135 pièces. J’espère que j’en trouverais à ce prix là.*
Vlad s’approcha d’un stand où brillaient une multitude de bijoux dont les teintes allaient du bleu saphir au rouge rubis en passant par le vert émeraude, le turquoise, le topaze orangé, l’améthyste violet, …. Toutes pierres précieuses possibles et inimaginables étaient réunies dans ce stand.
Bijoutier : Bonjour monsieur, que puis-je pour vous ?
Vlad : Je cherche un bijou pour remercier une personne de son hospitalité, quelque chose qu’elle pourrait porter à son cou. Dans la limites de 135 pièces bien sûr.
Bijoutier : Je vois, à ce prix, vous n’aurez rien de mirobolant. De quelle couleur souhaitez vous cette pierre ?
Vlad : Je pense qu’une pierre orange ferait l’affaire.
Bijoutier : Pour 135 pièces je peux vous vendre cette ambre orange. Son diamètre est petit mais sa forme de larme sied à merveille aux jeunes femmes. La chaînette pour la suspendre vous est offerte par la maison.
Vlad : Comment savez vous que s’est pour une femme ?
Bijoutier : On achète généralement des bijoux pour les femmes et les nobles et vu le prix que vous pouvez payer ce n’est sûrement pas pour un noble.
Vlad : D’accord, marché conclu.
La bourse vide mais un large sourire aux lèvres, Vlad repartit vers le cabinet de soins de la famille Ishidan.

Yusuzumi : *Il est en retard. J’espère qu’il ne s’est pas perdu, Lutélia est grande, j’aurais dû lui donner une carte ou même l’accompagner. Pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé.*
Vlad : Huf huf huf, me voilà mademoiselle Yusuzumi, je suis désolé de vous avoir fait attendre. Pour me faire pardonner j’aimerais vous donner ceci.
Il lui tendit une boite en bois de pin d’Alveo. La jeune femme la prit et l’ouvrit délicatement. Son visage prit une teinte rosée puis rouge.
Yusuzumi : Je ne sais que vous dire….
Vlad : Cette modeste pierre que je vous offre me sert de présent pour vous remercier de vous occuper de moi. Et si en plus vous la portiez a votre cou, je serais heureux de voir qu’elle vous plait. Est-ce le cas ?
Yusuzumi : Oui, elle me plait beaucoup. Je vous remercie infiniment pour votre cadeau. Je serais très heureuse à mon tour si vous la portiez vous-même à mon cou.
Vlad : Heu…Pas de problème.
Vlad ouvrit la chaînette, passa derrière la jeune fille qui ramenait ses cheveux par-dessus son épaule gauche, et lui passa l’ambre orangé autour du cou. Quand ce fut fait, la jeune doctoresse se retourna et Vlad put contempler la splendeur d’un bijou sur un bijou. Du fait de sa couleur, l’ambre agissait en parfait symbiose avec la robe bleu ciel pour faire ressortir au mieux la couleur des yeux de la jeune fille. Pour parachever le tout, le soleil donna à cet instant magique un éclat second en disparaissant au loin derrière les montagnes tandis qu’un baiser se posait sur la joue du garçon.
Le moment de flottement qui s’en suivi où deux inconnu puisent de la contemplation dans les yeux de l’autre prit fin et les deux jeunes gens partir enfin vers la maison de Ishidan. Aucun des deux ne parla durant le quart d’heure que dura le trajet. Puis ils tournèrent au coin d’une rue et ils se retrouvèrent face à une maison modeste parmi ses voisines mais majestueuses parmi celle que connaissait Vlad. Yusuzumi fit coulisser un des battants de la porte et se déchaussa. Elle invita Vlad à faire de même et ils entrèrent dans un couloir qui donnait sur de nombreuses portes. La résidente en ouvrit une sur la gauche et entra dans un salon meublé d’une table basse centrale, de coussins de velours pourpres répartis tout autour et d’une cheminée. Sur les murs se répandaient de vastes étagères qui composaient une bibliothèque aussi riche en livres qu’en couleurs.
Vlad esquissa un mouvement pour entrer mais à peine eut il posé le pied dans le salon que ses paupières se firent lourdes. A nouveau il fut contraint d les fermer et une fois encore il ne put les rouvrir. Ils senti son corps chavirer et s’attendait au choc mais rien ne vint. La pression sur ses paupières retomba et il ouvrit les yeux. Il fut assailli par les rayons du soleil qui passaient par sa fenêtre, grande ouverte par sa mère. Un grand soupir lui échappa mais quand il repensa à Yusuzumi, il eut un regain d’énergie. Faisant sa toilette, il crut apercevoir une distinction de rose sur sa joue mais déjà sa main passait de l’eau pour effacer une quelconque trace de récompense.
Le sourire ne le quitta plus et sa journée ne fut pas gâchée malgré les remontrances de ses professeurs, ni par la pluie qui tombait dehors.

Et voila, Passage Ryokô 1.

Ryokô signifie Voyage

C'est un peu long mais c'est parce que c'est le premier chapitre.

Mais dis moi !c'est trés bien tout sa ^^
Bon sauf le début qui va un peu trop vite ^^ mais sinon c'est trés bien continue !!!

Excellent ! Tout bonnement excellent ! Mais on aimerais bien savoir à quoi ressemble Vlad ! ^^ Ca m'intrigue beaucoup ! Y a aucune description faite de lui çà serait peut-etre bien de le décrire. Sinon j'adore ! Continu !

Merci ça me fait plaisir ^^

Okay, disons que cette version est la version 2.0 (la version 1.0 était au présent ^^)

En retravaillant le tout, je pense pouvoir vous produire une version 2.5 avant la fin de la semaine.

A dire vrai, je ne sais pas encore comment représenter Vlad, bien que j'ai quelques idées.

Merci encore a vous.

Je suis d'accord avec Tom pour les description^^
Ta bcp détailler LE perso féminin ^^ , alors que Vlad ^^. A quoi qui ressemble ? Et t il comme dans "la réalité" ou différent dans "son monde" ?^^

Okay okay, je vais vite réparer cette injustice, c'est juste que je regarde plus les filles que les garçons donc ça va mieux a détailler ^^

T'as un sacré vocabulaire toi ! C'est plaisant !

L'histoire est superbe pour l'instant, et je pense qu'elle va continuer dans ce sens^^ Le coup du garçon qui se retrouve dans un rève me rappele quelque chose, mais franchement, je sais plus quoi xD !

Sinon, l'heroine me semble jolie, j'arrive aisément à me l'imaginer.... mmmm et si j'eclaircis les couleurs... non je préfère rien dire n'y imaginer, ça me ferrais encore du mal xD

Continue comme ça Tehk^^

C'est bon j'ai édité le premier paragraphue, je pense que j'aurais pu mieux faire.

Par contre je rencontre un problème de cohérence dans le chapitre 2, veuillez m'excusez pour le retard que ça occasion.

Enfin, merci de vos compliments, ça motive ^^

Ryokô Ni : Passage

Vlad alla se couchez tôt ce soir là. La nuit précédente, il avait rêvé avoir offert une pierre précieuse à une charmante demoiselle qui occupait le poste de médecin. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour basculer au pays des songes, il n’avait pas arrêté de sourire de la journée et pour quelqu’un qui en avait perdu l’habitude, c’était plutôt éreintant.

A coté de lui, lorsqu’il se réveilla, il entendait une voix douce et calme dire « Papa, il revient à lui. » Ensuite, il ouvrit les yeux et vit que la jeune fille portait au cou une Ambre orangée. Son cerveau fit le lien et il se releva d’un coup sec, surprenant aussi bien la demoiselle assise à son chevet que le vieil homme à la barbe blanche qui était pourtant confortablement callé dans un fauteuil. La fille, il la reconnu instantanément, c’était Ishidan Yusuzumi. Par contre, il ne connaissait pas le vieil homme. Celui-ci avait un teint rosé, avec des pometes hautes, et ses yeux étaient bleu marine. Sa barbe était longue et rattrapée par ses cheveux, d’un blanc pur eux aussi. Il était vêtu d’une sorte de peignoir bleu. En fait, il ressemblait à Balban, mais un plus clair, mieux vêtu et mieux « entretenu ».
L’homme prit la parole :
« Je suis le maitre des lieux, Ishidan Ryoki. Je crois que vous avez déjà fait la connaissance de ma fille, Yusuzumi. » Sa voix était calme et empreinte de chaleur. Elle intimait le respect mais on lui aurait tout de même accordé tant ses yeux réfléchissaient la sincérité et la bienveillance.
« Oui monsieur. Je vous prie d’accepter mes remerciements pour le toit que vous me fournissez. Veuillez par ailleurs excuser ma défaillance qui m’a empêché de vous accueillir chez vous comme il se doit.
- Ha ha ha ! Mon garçon vous êtes brave mais laissez cette histoire de coté. Que diriez-vous de diner en notre compagnie à Yusuzumi et moi ?
- Si cela n’est pas abuser de votre hospitalité, j’en serais ravi.
- Fort bien. Yusu, peut tu préparer de quoi nous rassasier ? Un poulet devrait faire l’affaire. Cela vous convient-il, heu….
- Vlad, Vlad Magnitude. Oui, j’aime beaucoup le poulet mais en ville aujourd’hui, j’ai eu l’occasion de manger du bœuf aux herbes de Sandrix. Ce fut un repas d’une rare saveur, et je me demandais si ces herbes se mariaient aussi au poulet.
- Hum hum, tu es un connaisseur Vlad, tu aimes les bonnes choses. C’est d’accord, j’en mettrai dans le poulet. Attendez moi pour parlez des sujets sérieux.
- Bien sur ma fille. Hâte-toi maintenant, mon estomac cri famine.
Vlad était un peu secoué. D’abord, sa façon de parler ne le choquait pas mais elle n’était pas celle qu’il utilisait d’habitude. Pourtant, elle lui venait naturellement, et cela n’était pas pour lui déplaire. Ensuite, Yusuzumi l’avait tutoyé. Que devait-il faire en retour ? Tutoyer ou vouvoyer la jeune fille ?
- Vous semblez quelque peu troublé mon jeune amis. Venez avez moi à la salle à manger, nous en discuterons si vous êtes d’accord.
Vlad acquiesça et suivit le maitre des lieux sans dire un mot.
Il n’en avait pas eu l’occasion à « l’aller », mais maintenant il pouvait admirer les détails de cette maison. En fait, loin de lui être étrangère, cette maison lui rappelait quelque chose…..En effet, l’architecture était celle typique d’une maison japonaise. Calquée trait pour trait sur cette organisation : un grand jardin avec cinq cotés et un saule pleureur en son centre se trouvait au milieu de la maison. Celle-ci devait avoir plus ou moins la forme d’un pentagone. D’après ce qu’en révélait l’éclairage abondant en lampions, la maison, ouverte en son centre donc, possédait différentes ailes. Lui et son guide venait de quitter l’aile des chambre et longeait celle du salon. Tandis qu’ils marchaient, Vlad entendait le glapissement d’une fontaine. Quand ils parvinrent à la salle à manger, celle-ci lui apparu, adossée aux murs de la cuisine qui était la quatrième aile. La dernière enfin n’était pas éclairée. Cependant, deux statues semblaient en garder l’entrée. Par contre leur forme était indiscernable à cause de l’obscurité.
« - Prenez place.
Vlad s’assit à la gauche du vieil homme, qui après cette longue marche silencieuse apparaissait moins vieux tant il avait été dynamique.
- Parlez-moi de ce qui vous tracasse, repris-il.
- Pour tout vous dire, je vais commencer par les questions qui vous semblerons somme toutes banales mais qui m’incommodent. Dois-je tutoyer votre fille maintenant qu’elle me tutoie, ou bien suis tenu de garder ma place d’invité et de m’en tenir aux vouvoiements ?
- Ha ha ha ha ha…….
Ishidan Ryoki s’esclaffa pendant une bonne minute avant de fournir une réponse.
- Voilà deux fois que vous me faites rire ce soir, vous n’êtes pas n’importe qui. Quant à votre question, pourquoi ne pas demander directement à l’intéressée ?
- He bien, heu…

Voyant sa gêne, il n’insista pas mais ajouta :
- Je pense qu’après le cadeau qu’elle arbore maintenant à son cou, un second la plaçant comme votre amie lui ferait on ne peut plus plaisir.
- Vous…enfin…le bijou…je ….pour….remercier…
- Je sais, ne vous justifiez pas. Maintenant, qu’avez-vous comme autre question sans réponse ?
- J’aimerais savoir où je suis. Monsieur Balban m’a expliqué quelques petites choses mais je me sens perdu. Auriez-vous plus de précisions ?
- Hum, d’après moi, Balban ne t’a pas dit grand-chose. Ici tu es dans le Shinjin, le nom de ce royaume se réfère au nom de son Sosai, c'est-à-dire son souverain et signifie Foi. Notre Sosai est à peine âgé de 37 ans, ce qui est relativement jeune pour un Sosai. Pourtant, grâce à sa jeunesse, il est dynamique et procure beaucoup de bien au Shinjin, ainsi qu’aux relations avec nos alliés. Ce sont les Royaumes de Sekinin, la Responsabilité et de Kitai, l’Espoir. Par contre, nos relations sont tendues avec les Royaume de Yokubô, Muhô et Tsuyosa qui représente respectivement le Désir, la Violence et la Force. Leur avis sur la façon de régner n’est vraiment pas le même que celui de notre Sosai. Malgré cela, aucun des royaumes ne se risque à déclencher une attaque armée pour imposer son point de vue. Nous sommes en constantes négociations, et ce pour le bien des peuples. Il faut aussi compter sur les Archi-Prêtres pour mettre leur grain de sables dans le mécanisme des négociations. Donc tu es tombé dans un bon royaume.
- Voici le repas.
Yusuzumi installa rapidement les plats puis servit Vlad et son père avant de se servir elle-même et de s’asseoir. La nourriture était colorée, forte de légumes pleins de vie et d’un poulet sur lequel trois personnes pouvaient aisément manger. Le doux contact de la chair blanche parfumée par les herbes de Sandix parla a Vlad, lui injonctant de savourer ce repas de rêve…
- De quoi parliez-vous avant mon arrivée ?
- J’expliquais à Vlad la régence d Hachi Sosai. J’en étais à la neutralité de Sawai. Ce royaume se complet dans le silence. Son Sosai se replets du chiffre d’affaire effectué grâce à sa position centrale dans le monde. Ce ne sont que des profiteurs si vous voulez mon avis.
- Décidément, ce rêve me parait de plus en plus réaliste.
Les paroles de Vlad avaient coupé court au repas. L’heure était à l’interrogation. Ce que venait de dire le garçon était étrange et bizarrement venu. Après un moment de silence quelque peu gênant pour Vlad, Yusuzumi le questionna :
- Un rêve ? Ta fièvre serait elle remontée ?
- Un rêve Vlad ? Qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Et bien premièrement je débarque en plein milieu de la campagne sans passé. Ensuite on m’accueille à bras ouverts alors que je suis un parfait étranger. Finalement, ce poulet est un délice, un tel recueil de bonnes choses ne survient que dans un rêve. Pourtant mon rêve est entrecoupé de moments je suis dans la vrai vie et je ne peux venir ici que pendant mes phases de sommeil, c’est donc un rêve.
- Je vois, bon raisonement. Pourtant, que pensez vous qu’il nous arrive pendant vos phases de réveil ? Je veux dire ici, pour nous ?
- Heu… je ne sais pas, puisque je suis éveillé, il ne vous arrive rien.
L’Erudit se fit alors pensif. Il garda le silence pendant dix bonnes minutes. Durant ce temps de latence Vlad croisa le regard de Yusuzumi. Elle lui souriait. If fit de même puis repris son repas. Ishidan Ryoki brisa le silence.
- Mon garçon, j’entrevois bien une solution à votre problème. A chaque fois que vous revenez dans notre monde, vous réveillez vous ?
- Heu…Oui, a chaque fois, c’est comme si je sortais d’un malaise. Comment le savez-vous ?
- Hum, pour le moment laissez-moi poser les questions.
La voix de Ryoki était calme mais imposait quand même le silence et le respect.
- Mon petit Vlad, cela vous surprendrait il si je vous annonçais que ce monde, Hachi Sosai, est bien réel ?
- Bien sur ! Comment pouvez-vous prouver vos dires ?
- Vlad…Pas de questions. La vérité Vlad, est que je ne peux pas te prouver que notre monde existe, ni que tu ne rêve pas alors pour le moment je vais te prier de me croire. Si tu le veux bien, je vais te convier à me suivre à la capitale de Shinjin : Rumia. Là-bas, je pourrais m’entretenir avec les autres Erudits. Si ma théorie est juste, tu vas avoir un choc, et tout Hachi Sosai aussi.
- Comment cela ?
- Explique-toi père, moi même je ne comprends pas.
Ishidan Ryoki attendit et pesa ses mots. Le silence s’installa de nouveau pendant qu’un sourire courait sur les lèvres de l’éminent Erudit. Une fois qu’il eut été plus sur de ce qu’il allait dire, il rompit le silence et parla posément :
- C’est fort simple, d’après moi Vlad est un passage.

Le chapitre deux.

Je me suis efforcé de produire un chapitre de qualité.

A l'heure actuelle je n'ai pas entammé la rédaction du chapitre 3, mais je devrais m'y atteler ce soir ou demain.

Bonne lecture.

contragulation
La suite la suite la suite , je veux la suite !!!!!!
Félicitation ^^ on est scotcher

Quel talent ! bravo

c'est pas moi qui ferais sa ...

Alors là, bravo ! On as vraiment envie de connaitre la suite !!

Les élements de ton univers me semblait déjà pas mal, et les noms des regions ne m'étaient pas familier, mais maintenant que tu en as donné la signification, je vois la profondeur de ton travail et ce que tu veux en faire (a peu près hein, je suis pas devin )

En tout cas, continue. J'aimerais bien savoir ce qu'est cette histoire de "passage"

Si j'arrive à retranscrire la profondeur des éléments tels que je me les imagine, je vous promet une suite dont l'intensité va aller crescendo ^^

Merci pour vos encouragements.

Vlad alla se coucher, (ici un poing serai mieux qu’une virgule) il était fatigué mais content (ce mot est bon pr un gars de 6éme ou à employer quand tu parle d’un gamin, ou défaut d’un autre mot pr des raisons de rime ou de répétition, la c ni l’un ni l’autre …). Aujourd’hui c’était son anniversaire (16 ans) (tu peu pas mettre sa, arrange ta phrase pr que la parenthèse n’y paraisse plus) et il avait été fêté comme il se doit (concordance, utilise le passé) mais maintenant il avait besoin de dormir, (ponctuation, si tu veux mettre quelque chose, met les deux points. Comme tu as utilisé « dormir » ici et qu’il est indispensable, modifie ta première phrase pr éviter la répétition) il avait cours demain.
Le garçon était grand, sans conteste, et son mètre quatre-vingt six portait un jeune homme peu musclé (euh, la frase parait bizarre, peut être que sa se di, je ne me permettrai donc pas de critiquer ^^). Il n’avait pour lui (la aussi sa fait un peu bizarre mé la aussi j’en sais rien) qu’un visage long et toujours souriant, ainsi qu’un teint plein de vie parachevé (pareil) par des yeux bleus à la limite entre le turquoise et le bleu océan. Ses cheveux blond vénitien étaient courts mais assez long tout de même pour qu’il puisse les engluer de gel chaque matin. Il ne fut pas long à s’endormir, a peine trois minutes, juste le temps de penser qu’une fois encore il n’avait pas révisé pour le lendemain. L’école le passionnait si peu et il commençait à en avoir marre. De toute façon il dormait (je vois pas ce que sa viens foutre la…).

Je viens de faire un rapprochement (je viens de finir de taper le cours de logique, donc mon esprit est en éveil lol il est 21h ^^) : ton gars, il n’aime pas son monde non ? Alors pourquoi il est toujours souriant ??? ou alors, il s’agit la de subtilité de la consciences que je me garderait d’essayer d’expliquer XD

Voila ce que donnerai selon moi le premier paragraphe, mé bon, je sui loin d’être un super écrivain, et je ne devrait même pas te critiquer étant donné que je dois faire des truc plus gros que sa… sans parler de mon ortho déplorable XD. Bref, voila, et vois si tu peu améliorer sa ;-)

Vlad alla s’étendre sur son lit au confort relativement agréable. Il était fatigué mais néanmoins satisfait. Aujourd’hui était le jour de ses 16 ans, et il les avait célébrés comme il se devait. Un bien pour un mal car il avait cours demain, de ce fait aurait du se coucher plus tôt. Le garçon, grand mais de carrure peu imposante voyait le monde du haut de son bon mètre 86 à travers des yeux à la couleur particulière, à la limite entre le bleu océan et le turquoise. Son visage long, toujours souriant laissait transparaître par son teint plein de vie son goût du monde dans lequel il évoluait. Il passa la main dans sa chevelure blond vénitien, courte, mais suffisante pour pouvoir l’arranger chaque matin en ne lésinant pas sur le gel.
Il ne fut pas long à s’endormir, a peine trois minutes, juste le temps de penser qu’une fois encore il n’avait pas révisé pour le lendemain. L’école le passionnait si peu et il commençait à sérieusement en avoir marre. De toute façon il dormait. (Sa je pige pas trop …)

Pour le dialogue, évite le system anglais, sa fait horrible en français crois moi, utilise des liaisons et des énonciation même si c plus chiant, mé bon, je suppose que t’a fait sa pacque c pas du définitif, mé je sui un peu perfectionniste et sa m’agresse de voir sa même si des fois je le fait^^ je t’en veux pas.

Autre chose, sa fait zarbi un gars qui s’appel Vlad… sauf si c le diminutif de Vladimir, et pi, Magnitude, chai pas… faut dire que nom de merde suis doué aussi pr sa même si je les trouves classes. Donc, la a la limite garde, c pas grave du tt.

« Ce n’était pas sa petite chambre qu’il voyait mais une énorme prairie en pente douce. Cette vaste étendue verte se prolongeait au-delà des nombreuses collines qui composaient une énorme vallée. »
T’a 2 fois énorme la non ?
« Se prolongeait en une vaste vallée au delà des nombreuses collines qui jalonnaient le paysage. » sa serai pas mieux ? Sauf jalonnait… c pas super mais la g rien d’autre en tête…

« Les herbes hautes masquaient la vue au raz du sol. Certes elles étaient hautes mais aussi tellement douces. »
Sa fait lourd, fusionne les 2 phrases, ou même celle d’avant aussi avec : « Vlad s’était trouvé assis au bord du seul chemin qu’il put observer en se redressant, l’herbe confortable étant trop haute pour voir quoi que se soit depuis le sol. »

« Agé aussi, comme l’indiquait sa barbe épaisse et grisâtre »
Sa aussi c lourd (remarque que je fait souvent sa aussi sans m’en rendre compte). « Sa barbe épaisse et grisâtre indiquait son âge avancé » « indiquait » c faute de mieux, pacque sa le fait moyen, c utilisable…

« Sauf que même s’il était petit, il conservait un taille supérieure aux nains »
Sauf que : à bannir, sauf si tu parle d’un gamin…
Il était petit, déjà di deux phrases avant…
« Malgré sa petite taille, celle-ci ne l’était pas encore assez pour un nain. » Je pense que sa se dit en tout cas je l’ai déjà lu, toujours est il que change cette phrase XD

« Il s’était adressé à Vlad avec une voix forte mais pleine de chaleur. »
T’aime bien les « Mais » me trompe ? Pacque la, je ne vois pas pkoi ce mais !surtout qu’une voix fortes porte plus de chaleur qu’une voix faible
Et « d’une » au lieu de « avec » passe mieux

Lutélia, joli nom, je vais le piquer le temps que y a pas de copyright ^^ je plaisante

« Balban : Bon, je t’emmène voir un médecin en ville, il y en a un très réputé et en plus c’est un Erudit.
Vlad : Je vous remercie. Mais qu’est ce qu’un Erudit ? »

C pas un peu bizarre sa, le gars il a juste dormi, un inconnu lui dit « je t’amen au médecin » et le gars lui répond « merci » ? Chai pas mé je verrai plutôt un truc du genre « g pas besoin d’un médecin, je veux juste savoir ou je suis et rentrer chez moi !»…
Et là la conversation s’enchaîne sur « justement le médecin le saura sûrement, c un érudit » et sa continu avec ta réplique suivante : « Mais c’est quoi un érudit ?? »

Merde !!!! Tu ne pouvais pas t’empêcher de prendre des trucs Jap !!!! Enfin, c ton univers, la dessus g rien à dire ^^


Hachi Sosai, y a pas Hachi Parmentier ? lol blague à part ^^ j’aime bien en fait

Par contre pour les explications, tu devrais faire un dialogue complet qui permettra de percevoir l’acceptation de Vlad en ce qui concerne ce qui lui arrive ou alors fait le paraître dans l’indirect, je sais pas comment.

Balban : Voici Lutélia mon jeune ami
« Mon jeune ami », sa fait un peu pédophile sur les bords… refait le « mon gars » sa passe mieux

« Et puis arriva une colline plus grande que les autres et qui portait le chemin de terre qui s’élargissait »
« La charrette poursuivit sa route par-dessus une colline plus élevée que les autres alentours. Le chemin de terre s’élargissait. » C mieux ^^ (du moins c pas encore parfais, donc la pareil, améliore, g pas la prétention d’être bon en description loin de là)


« La structure de la cité parfaitement découpée »
« La structure parfaitement découpée de la citée » sa passe mieux


« La ville s’étendait du pied de la colline au milieu d’une plaine géante délimitée au loin par l’impressionnante chaîne de montagne. De cette belle cité partaient trois grandes routes pavées, une route de terre moins large et une farandole de chemins terreux comme celui sur lequel se trouvait la charrette du vieux Balban. »
2 min, la je suis rien du tout là !!
Tu pourrais pas nommer les collines et chaînes de montagnes, certes sa nous avance pas a grand choses, mé sa passe nickel, de plus situe géographiquement avec des « à l’est », « à l’ouest », et indique les contrées vers lesquelles partent les pistes, sa étoffe la description et sa permet de ne pas faire passer ta ville pour Jesuispauméànulpartland… Le tout dans une explication du nain, pacque sa m’étonnerai que le tit Vlad il peux voir tous les chemins si c’est une ville de 1 million d’habitant…

Au fait, je me trompe peut être mais vu le titre du chapitre, il rêve la, et son histoire se passera dans ses rêves et à un moment du scénar aura une incidence sur le monde réel ? Enfin, vire le titre dans ta version définitive pour laisser planer le suspense si c’est bien sa…. G pas encore lu la suite XD

« Après encore dix minutes de trajet » Tu vas me jurer lol : rajoute « supplémentaire », sa le fait mieux ^^ c pas obligatoire, je chipote. (Au fait, j’espère que je te critique bien fort pour que tu t’améliores et que tu fasse de même avec hargne pour mon histoire)

« Le porche » une ville sa a un porche ? Je sais pas… si non, dis qu’elle est entourée de muraille et donc qu’ils passent la herse. Où le pont-levis (c fun sa un pont-levis enfin, sa vient de moi, donc n’accepte pas, sa ne serais plus ton histoire et je te volerais sans scrupule tes droits d’auteur :p)
Ah ok lol je n’avais pas lu la suite ! Il y a bien une muraille ^^ ben vois pour le porche, je c pas si sa existe.

« Ornée d’une croix latine dont la branche du haut était une boucle légèrement ovale »
Tu pouvais dire au lieu de toute cette description « ornée d’une croix qui s’apparentait assez à la croix d’Horus » des Egyptiens de l’antiquité

« C’était leur façon de s’habiller, de se comporter, de rire qui frappait Vlad. Ces gens n’avaient-ils pas de tracas ? »
Sa fait un peu bizarre là, développe pour qu’on comprenne pourquoi est ce qu’il pensait sa, parce qu’après tout, à saint Denis, tout le monde s’habille, rit, boit… comme s’il n’avait pas de tracas… (Je crois que tu commences à comprendre pourquoi j’ai mis prés de 8 heures à écrire mon premier chapitre qui n’est pas du tout parfait… Heureusement que j’écoutait Daft, sa me motivait ^^)

« Vlad : Dites moi Balban, pourquoi les gens rient ils ainsi ?
Balban : Hein ? Et bien il en a toujours été ainsi, la ville est prospère, protégée par ses murailles et gouvernée par un bon Sosai, que demander de plus ? Les gens ne rient pas chez toi ?
Vlad : Et bien je voulais dire… chez moi, les gens ne se déplacent pas en charrettes et ne portent pas ce genre de vêtement, on se croirai au Moyen Age !
Balban : Le Moyen Age, qu’est-ce ?
Vlad : Et bien c’est une époque où les gens…………….. »

AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH enfin un bon discours ! Sa c bien ^^

« Il avait rêvé »
Eh^^ je le savais ^^


« Maintenant il devait se lever, aller à l’école, faire de son mieux. »
T’avais pas dit qu’il était blasé ? Parce que s’il est blasé, il ne va sûrement pas se dire qu’il faut qu’il fasse de son mieux à l’école…

« Vlad se trouvait humilié une fois de plus devant toute la classe. C’était son lot quotidien et ce avec chacun de ses professeurs. Mais ce rêve… »

« Il se trouve humilier… » Et maintenant sans transition, « ce rêve », c limite PPDA dans les guignol là…
(J’exagère lol)

He he la suite tant attendu de dreamLand, tu aurai pu cependant développer, dire par exemple qu’en allant se couchait il espérait de toute ses force retourner la ou il avait fini la veille, et que cette fois il souhaitait ne plus se reiveiller, qu’il se bombarde de somnifère dans ce but, sa ajouterai une dose d’humour… (du moins moi je trouve sa drôle, ou du moins comique…) La encore c toi qui voi